dimanche 6 novembre 2016

Bombe de WikiLeaks :

Le Partenariat / Clinton / Soros / Vatican




Article écrit par Elisabeth Yore
Le 4 novembre 2016

Elizabeth Yore est une avocate internationale spécialisée en matière des droits de l'enfant, de la famille et un membre de l'Institut Heartland.Elle a enquêté sur plusieurs cas d'abus sexuels de l’Église.

Elle suit à la loupe la cause de l'environnement des Nations Unies car ils entendent propager dans leurs programmes l'avortement et la contraception. Ça l'horripile de voir l'Église copiner avec les Nations Unies sans ne rien dire sur ces aspects.

SOURCE : The Remnant





Merci à WikiLeaks, nous avons appris que, dans la préparation de la visite papale de septembre aux États-Unis, le Vatican a sollicité la participation de manière proactive de la frange la plus radicale de la gauche Démocrate. Est-ce que c’est là la notion de « dialogue et de rencontre » de paix de François ?

Tous les chemins qui mènent au Vatican de François retournent à George Soros.





La trame secrète est fournie à la fois par la publication des courriels de WikiLeaks sur John Podesta et par les documents de DCLeaks en provenance de l’Open Society Foundation de George Soros. Ces courriels corroborent que des agents de Soros collaborent avec des hauts Cardinaux du Vatican, à la demande de George Soros.

En août 2016, des documents de DCLeaks piratés chez l'Open Society Foundation de Soros, a démontré une subvention de 650 000 de Soros $ à PICO (People Improving Communities through Organizing — Les gens qui améliorent les communautés en les organisant), une organisation radicale d’ organisateurs communautaires, subvention ayant pour but exprès de se rendre au Vatican pour des rencontres de stratégie en prévision de l'élection 2016.

Qu'est-il arrivé aux réunions du Vatican financées par Soros ?

Sans surprise, le résultat des trois jours de rencontres de PICO au Vatican se sont soudainement matérialisés dans les emails de la boîte de réception de John Podesta — Président de la Campagne Présidentielle de Clinton, — tels que constatés dans les fuites de WikiLeaks. Un rapport détaillé sur l’important séjour de PICO au Vatican serait certainement d’un intérêt critique pour Podesta ; ce rapport souligne le partenariat Soros / Clinton / Vatican. (Divulgation complète : Soros a donné 25 millions $ à la campagne présidentielle de Clinton et au Centre for American Progress de Soros jadis présidé par Podesta [ Centre pour le Progrès Américain]. Et, en effet, les notes des réunions dévoilent des informations précieuses sur les stratégies de la cabale de gauche à l’oeuvre au Vatican.

WikiLeaks lève le rideau sur les radicaux retranchés dans la papauté de François. Les rencontres de PICO avec le Vatican n'ont pas été tout simplement des rencontre papales vives, brèves et empreintes de salutations seulement. Au contraire, les documents révèlent que les activistes inspirés d’Alinsky ont été invités, accueillis et ont dîner dans des sessions de stratégie intense avec des Cardinaux de haut niveau du Vatican. La fuite des e-mails exposent les machinations politiques de gauche derrière la papauté de François où les organisateurs communautaires radicaux financés par Soros ont coordonné un message radical avec des Cardinaux de haut niveau confidents du Pape.

Pourquoi Soros aurait financé ce voyage au Vatican ? C’est évidemment un investissement judicieux avec des avantages à long terme.

Le lot des e-mails sur Podesta renforce la collaboration en cours des globalistes de Soros avec François et ses sbires papaux. À partir de l’élection papale de Bergoglio, George Soros a identifié Bergoglio comme une âme sœur, un globaliste radical avec l'autorité morale très recherchée et la voix de l'Église Catholique. François partage la vision du monde de Soros : le changement climatique, la migration de masse, les inégalités de revenus, le globalisme et le dénigrement du capitalisme.

En quelques semaines de la nouvelle papauté de François, Jeffrey Sachs — membre de longue date de l’intelligentsia de confiance de George Soros, également récipiendaire de 50 millions $ de fonds de Soros et sommité officielle des Nations Unies — a été invité et été présenté comme expert de premier plan du Vatican concernant le changement radical climatique.

À titre d’indication de son statut privilégié, Sachs a parlé au Vatican 18 fois pendant les premières années de la papauté de François. Sachs a orchestré l'Alliance des Nations Unies avec le Vatican sur le changement climatique et s’est assuré du sceau d'approbation de François sur les Objectifs de Développement Durable des Nations Unies ainsi que sur le Traité de Paris sur le Climat, inaugurant ainsi l'agenda globaliste. Plusieurs confidents et conseillers de Soros sont fermement établis à l'Académie Pontificale des Sciences Sociales du Vatican promouvant l'agenda mondialiste de l'environnement des Nations Unies et de Soros ainsi que les protestations anti-capitalistes d’Occupy Wall Street.

Les e-mails de WikiLeaks sur Podesta révèlent que le Vatican a sollicité des conseils et collaboré avec les organisateurs communautaires de gauche pour faire avancer la plate-forme politique du parti Démocrate. Soros a financé stratégiquement les militants progressistes de PICO afin qu’ils servent d’éclaireurs de facto pour le voyage à venir du Pape aux États-Unis par des discussions sur les visites sur place du Pape et les messages politiques à véhiculer avec la hiérarchie clé du Vatican.

Avec la cascade quotidienne des e-mails de WikiLeaks sur John Podesta, le Vatican est davantage démasqué comme un sympathisant de la gauche radicale américaine. Les e-mails de Podesta nois présentent les collaborateurs extrémistes qui sont au pouvoir et en contrôle dans la papauté de François. D’un e-mail de WikiLeaks à John Podesta en date du 22 juin 2015 au sujet du périple financé par Soros de PICO au Vatican :

« Notre équipe comprenait plusieurs pasteurs afro-américains de PICO profondément impliqués dans Black Lives Matter (Soros a financé Black Lives Matter de 33 Millions en une seule année) y compris le travail d’un Pasteur de St. Louis qui est sur la Commission Ferguson ( note : commission d’enquête sur les émeutes de la ville de Ferguson qui a connu des émeutes raciales importantes ; un noir fut abattu et Black Lives Matters a mis de l’huile sur le feu intentionnellement pour faire du chaos. ); le Révérend Alvin Herring, notre directeur adjoint qui a travaillé en étroite collaboration avec le clergé de Baltimore ; un DREAMer ( DREAMEr = un gradué ayant bénéficié du Fonds national de bourses scolaires pour immigrants) de la Floride ; un prêtre de la Californie qui était autrefois lui-même sans papiers ; un diacre noir Catholique qui dirige notre travail sur l'incarcération de masse à la Nouvelle Orléans ; et deux travailleurs de la SEIU ( syndicat des employés civils ) qui contribuent à diriger la lutte pour 15 travailleurs ».

Soros a envoyé ses activistes communautaires de PICO en justice sociale au Vatican avec l’ordre de façonner et d’encadrer le message du Pape pour les Américains. Parmi les militants de PICO dans la délégation du Vatican, il y avait le pasteur Michael McBride qui a été arrêté dans la ville Ferguson pour avoir protesté contre les revendications bidons mythiques forgées de toutes pièces de brutalité policière contre le pas si « gentil géant » Michael Brown. Les discussions avec les hauts responsables au Vatican d’une durée de plus de trois jours de réunions ont été centrées sur le programme de la gauche :

« Nous avons fait part de notre avis à l’effet que le Pape est un leader mondial d'une importance historique ; que son message d'exclusion, d'alarme concernant l'aggravation des inégalités et de sa préoccupation concernant l’indifférence mondiale sont importantes pour les États-Unis à entendre et à voir de façon vivante pendant sa visite ; et que nous avons l'intention d'amplifier ses remarques afin que nous ayons un dialogue moral plus profond sur les choix politiques au cours du cycle des élections de 2016 ».

C’est frappant, l'objectif sous-jacent du voyage au Vatican dans le rapport à Podesta, Président de la Campagne Clinton, est à l’effet que la délégation a renforcé chez les officiels du Vatican les points de vente électoraux Démocrates de 2016. PICO, sur les instructions de Soros, a cherché à frapper la revendication de la haine raciale, le mécontentement, l'inégalité et l'exclusion avec la Curie du Vatican et les rédacteurs d’allocutions de François.

Le courriel confirme que le Pape François soulignera une stratégie de thèmes et de messages similaires tels comme promulgués par les activistes de PICO :

« À la fin de la journée, notre visite nous a confirmé une stratégie globale : François, en tant que leader de stature mondiale, mettra au défi l’« idolâtrie du marché » aux États-Unis et sonnera un appel de clairon pour changer les politiques qui favorisent l'exclusion et l'indifférence envers les plus marginalisés ».

La délégation de PICO a fourni des histoires d'injustice et d'inégalité à la Curie du Vatican. Imaginez les manifestants du dénigrement racial de la ville de Ferguson régalant les officiels du Vatican avec des histoires de brutalité policière endémique et de l'assassinat de Michael Brown ainsi que d'autres hommes noirs innocents ! Est-ce que les Cardinaux de François prennent même la peine de vérifier les résultats concernant les fausses accusations de brutalité policière à Ferguson? Peu probable.

« Dans nos réunions avec des fonctionnaires compétents, nous avons recommandé vivement que le Pape souligne — en paroles et en actes — la nécessité de lutter contre le racisme et contre la hiérarchie raciale aux États-Unis. Les conversations qui étaient initialement prévues pour trente minutes se sont prolongées en un dialogue de deux heures ».

Alléluia ! On dirait que tout le monde chantait du même hymne Kumbaya sur la discrimination raciale. Que le Vatican est donc œcuménique à dialoguer avec les militants de Black Lives Matter ! Est-ce que l’économie de l’« idolâtrie du marché » comprenait 33 millions $ que George Soros a fourni à Black Lives Matter pour ses protestations? C’est à en douter.

« Comme dans notre conversation du petit déjeuner avec le Cardinal Rodriguez, les hauts fonctionnaires du Vatican ont partagé des idées profondes qui démontrent une prise de conscience du climat moral, économique et politique en Amérique ».

De toute évidence, le Vice-Pape (n ° 2 au Vatican), le Cardinal Rodriguez Maradiaga, favorise et partage les messages politiques des organisateurs communautaires de la gauche américaine. Tout en fournissant des informations concernant la visite du Pape aux États-Unis, le Vatican et la délégation de PICO ont convenu que François visiterait une prison lors de son voyage aux États-Unis. C’est donc sans surprise que, lors de son escale à Philadelphie, le Pape François a visité une prison !

« Nous avons été encouragés à croire que le Pape va faire face au problème racial à travers un cadre moral. On nous dit que le Pape se rendra dans une prison pendant qu’il sera ici — pour démontrer sa préoccupation au sujet de l’incarcération ».

Le plan de match de Soros pour la délégation PICO était de faire éclore, de mettre en œuvre et de coordonner François sur des thèmes et des événements stratégiques au cours de sa visite des États-Unis en septembre 2015. Le Vatican a convenu de cadrer le message du Pape en ligne avec le programme radical des Alinskyites financés Soros. Comme tout agent politique le sait, le dénigrement de la discrimination raciale assure que le bloc de votes afro-américains est stimulé à voter Démocrate. WikiLeaks démasque l’Église de François en nous montrant que les organisateurs communautaires sont consultés comme éclaireurs pour la visite papale aux États-Unis fournissant à François des thèmes d’allocution à partir de la gauche radicale.

Les courriels de WikiLeaks sur Podesta se poursuivent :

« Ceci est la raison pour laquelle nous nous sommes réunis au Vatican à la mi-juin suite à l'encouragement du Cardinal Oscar Andres Rodriguez Maradiaga, souvent désigné comme le « Vice-Pape » et un fervent partisan du PICO ; il nous a pressé de partager nos histoires, notre perspective et nos espoirs pour l'impact de la visite du Pape François aux États-Unis avec des représentants du Vatican ».

Ainsi, grâce à WikiLeaks, on apprend que dans la préparation de la visite américaine papale de septembre, le Vatican cherche activement de l’information de la frange la plus radicale de la gauche Démocrate qui fomente la violence et l'anarchie dans les rues sur une fausse accusation de brutalité policière et de meurtre racial à Ferguson. Est-ce la notion de François sur un « dialogue et une rencontre » de paix ?


L’Alliance PICO/Vatican continue en Bolivie


Le Cardinal Turkson avec une délégation de PICO
dans une Rencontre des Mouvements Populaires en Bolivie

Les courriels envoyés à Podesta ont aussi discuté que PICO et le Vatican étaient d'accord pour maintenir le dialogue sur les questions de justice sociale à l'Assemblée Mondiale des Mouvements Populaires en Bolivie où le Pape François aurait à parler aux militants de la politique mondial en juillet à 2015. La délégation PICO a reçu une invitation personnelle du Vatican pour assister à l'Assemblée Mondiale des Mouvements Populaires de Bolivie. PICO a assisté à l’événement en Bolivie ainsi que leurs camarades du Vatican, les Cardinaux Turkson et Maradiaga et le Pape François.

Le voyage de PICO en Bolivie à la Rencontre de l'Assemblée Mondiale des Mouvements Populaires a même donné à la délégation PICO l'occasion de partager le podium avec le Pape alors que François s’est concentré sur la béatitude obtuse de la « dignité de l'environnement ». Les activistes sociaux, comme PICO, peuvent s’adapter rapidement et pivoter de la brutalité policière et de l'inégalité raciale pour faire écho aux préoccupations de François à propos de « l'impact du changement climatique sur des milliers de familles ».

Pendant qu’il était en Bolivie à la Rencontre de l'Assemblée Mondiale des Mouvements Populaires, le Pape François a reçu un cadeau du Président Bolivien Evo Morales, le militant socialiste radical. Morales a donné au Pape un crucifix enveloppé avec un marteau communiste blasphématoire et la faucille. Les Catholiques étaient scandalisés et horrifiés de cette profanation et de cette politisation du symbole le plus précieux du Catholicisme. Apparemment, le Vatican n’a vu aucune offense par ce cadeau parce que le Président Morales était invité au Vatican pour partager le podium avec un autre socialiste, Bernie Sanders, en avril 2016.

Bienvenue à l’Église de François lorsque l'action politique Jésuistique a remplacé l'enseignement sans intérêt et fastidieux du salut des âmes. Le vêtement sans couture Bernardin fané et élimé de la justice sociale est ressuscité des naphtalines par l'alliance inquiétante du réseau mondial de Soros et de l’Église de François. Il est temps de bien garder votre foi et votre porte-monnaie. .

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