mercredi 25 septembre 2013

Les païens québécois ? Vous connaissez ?

Ben koi ? Même les païens des pays qu'on n'a jamais visités ont leur fête annuelle... païenne. Ils apportent des fleurs et de l'encens à leur dieu de pierre, de bronze...

Les païens québécois aussi ont leur rite annuel: la Messe de Noël. « Ah ! les chants étaient beaux cette année ! » Quelques mois après Noël, il y a encore deux autres fêtes païennes : la cabane à sucre et le Dimanche de Pâques.

Avec ces trois événements, le Québécois a fait son année. « Ah ! mais la cabane à sucre, ce n'est pas une fête religieuse ! », me direz-vous... Mais le Québécois met autant d'ardeur à « sa cabane à sucre » que pour les deux autres, autant dire qu'elle fait partie des autres, non ?

Parce que, dans le fond, ces trois événements ont tous une caractéristique commune : ils font tous partie de la tradition québécoise, les fêtes religieuses ne sont plus religieuses, elles sont des traditions.

Le coeur du Québécois n'est plus connecté au coeur de Dieu. S'il l'était tant que ça, il irait Le voir un peu plus souvent, non ? Avez-vous déjà vu quelqu'un dire qu'il est en amour fou avec quelqu'un d'autre et qui se contente d'aller le voir deux fois par année ? Dites-moi, est-ce que ça fait du sens ? N'est-ce pas comme ça que le Québécois traite Dieu ?

Il en découle toutes sortes de conséquences néfastes pour le païen québécois. Voyons voir certaines de celles-ci :

Bien de valeur, la Charte des Valeurs

Les Québécois sont en train d'haïr les Arabes si ce n'est pas déjà fait. Sur 10 blagues reçues sur Internet, au moins trois font référence aux Arabes et ce n'est jamais du bon côté de la médaille.

Dans une économie québécoise super languissante qui commencera à ressembler bientôt à celle du tiers monde parce que l'élastique ne pourra pas toujours être aussi étiré, les dirigeants québécois savent bien quoi faire pour ne pas alerter la population à ces problèmes importants auxquels nous ferons face. Ils sont très bien conseillés par des spécialistes en communication et en relations publiques : ces derniers leur recommandent de faire de la distraction, oui, de la distraction. Et une superbe de belle distraction est la législation sur les symboles religieux, la fameuse Charte des Valeurs.

Les Québécois ont hérité d'un nouveau Dieu :
le respect

Ça a toujours été bien payant pour les dirigeants de miser sur une haine partagée par son peuple. Ça réunit bien plus vite et bien plus fortement que sur un projet positif. Les conséquences d'une telle stratégie sont toutefois toujours désastreuses à moyen et à long terme.

Si le Québécois était encore croyant et était connecté à Dieu, que penserait-il ? Comment se comporterait-il ? Souhaiterait-il une Charte des Valeurs établie par des hommes à l'esprit humain et très obtus qui ambitionnent juste de conserver le pouvoir ?

Non ! non ! et non ! Le Québécois croyant se souviendrait très bien qu'il faut aimer son prochain comme soi-même et qu'il faut même prier pour ceux qui le persécute. C'est écrit tout ça dans la Charte ? Bien non, laïcité oblige ! « Expurgeons les Québécois de ses vraies valeurs authentiques; de toute façon, ils ne se souviennent déjà plus de ces valeurs chrétiennes. Ils pourront toujours les pratiquer seuls dans leurs placards, s'ils le désirent. Mais, en public, c'est mieux d'haïr...avec respect, il va de soi...» se disent consciemment ou non nos dirigeants.

Ah ! Vous êtes surpris que je vienne d'utiliser le mot « haïr ». S'il n'existe pas de différences entre les personnes, si on « neutralise » tout, comment pouvons-nous apprendre à aimer ? Il faut des différences pour apprendre à aimer. Là où il n'y a plus différences, là où c'est « neutre », seule la haine peut s'installer.

J'ai aussi écrit « haïr avec respect ». Bizarre comme phrase mais vraie. Dans cette société païenne, pire, athée, le respect a pris la place de l'Amour. Dieu est Amour et on n'a plus le droit d'en parler. Les Québécois ont hérité d'un nouveau Dieu : le respect.

Ça fait déjà plus de 30 ans qu'on enseigne cette valeur dans nos institutions scolaires. Ne vous demandez pas pourquoi les jeunes n'ont pas appris à aimer, ils ont appris à respecter ! L'Amour est une valeur fondamentale à transmettre, on l'a troqué pour le respect et ces jeunes en furent les pauvres victimes dans un système d'éducation laïc, païen et orgueilleux. Pourquoi « orgueilleux » ? Souvenez-vous : « Maîtres chez nous ». On ne souhaitait pas que Dieu soit notre Maître dans ce système, nous voulions être les Maîtres.

On a beaucoup ridiculisé Jean Le Baptiste
Patron des Québécois
Pourtant les Québécois n'ont jamais été aussi
moutons que présentement

La grande majorité des Québécois ont perdu leur « Je Suis » qui les habitait. Et les Québécois ont même oublié que « Je Suis », c'est le vrai Nom de Dieu. Dieu n'habite plus en eux; tout au plus, Il a laissé une toute petite lampe allumée en eux avant de partir. Pourquoi ? Réponse : pour les garder en vie en espérant qu'ils reviendraient Le voir plus souvent et qu'ils L'aimeraient à nouveau comme leur Vrai Père qu'Il est.

Quand « Je Suis » quitte une personne, il se crée un grand vide dont on n'a pas trop, trop conscience au début. Mais ce vide se fait sentir à un moment donné. Si on ne retourne pas Le voir, nous développons des expédients pour tenter de combler ce vide : le jeu, l'alcool, le sexe, le sport à outrance, le jogging à outrance, les sectes, toutes les catégories de méditations pseudo-divines ou presque, les jeux vidéo à outrance...

Et, pris dans ces esclavages, les Québécois deviennent « zombies ». Ils n'ont plus de discernement et réagissent comme des quilles à tout ce qui leur est proposé.

Les Québécois sont païens
Ils élisent des païens
Ils sont représentés par des païens
Ils n'ont jamais été aussi moutons !

Les Québécois ne connaissent même pas l'histoire de leur Patron
Ils rient encore de lui
Si les Québécois étaient un centième de ce qu'il était
Les Québécois seraient un des plus grands peuples du monde


Tant qu'ils riront de leur Patron, ils resteront des moutons

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