mardi 11 juillet 2017

Le Père Murray remet à sa place
une icône de l’« Église Gay »



par Christopher A. Ferrara
SOURCE : Fatima Network Perspectives
Le 11 juillet 2017

Le Père Gerald E. Murray —

— est un défenseur avec ses deux poings de la Foi avec un pedigree de l’Ivy League [universités prestigieuses du nord-est des États-Unis ] du Dartmouth College et un doctorat en Droit Canonique. Il est un atout majeur pour EWTN [plus important télédiffuseur religieux au monde ] dans son commentaire « grand public » de plus en plus important sur ce que j'appelle le tumulte Bergoglien.

L'auteur de cet éditorial est Monsieur Christopher A. Ferrara. Monsieur Ferrara est avocat de profession. Il agissait aussi comme collaborateur principal de Feu Père Nicholas Gruner, fondateur du Centre de Fatima, Fort Érié, Canada et ayant aussi des installations à Rome. Il est chroniqueur dans plusieurs autres sites catholiques dont Le Remnant Newspaper.


Il est à l'opposé de ce caractère ecclésial —

— Le Père James Martin, chouchou des médias à cause de sa promotion révoltante du « sacerdoce gay » et de son droit imaginaire de faire un « coming out » [sortir du placard et s’afficher publiquement comme gay ] exactement en tant que « sacerdoce gay » ainsi que son soutien du « mariage gay ».

Une indication révélatrice de l'état périlleux de l'Église sous le Pape Bergoglio est le fait que non seulement Martin n'a souffert aucune conséquence pour son travail de subversion, mais il a été fait consultant auprès du Secrétariat des Communications du Vatican. De toute évidence, la campagne acharnée « pro-gay » de Martin se conforme bien avec un appareil du Vatican qui implique maintenant, comme Edward Pentin l’a rapporté sur EWTN appartenant au National Catholic Register, une orgie homosexuelle dans un appartement de luxe situé dans le même bâtiment que le siège de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi dont le Pape Bergoglio est en train d’éliminer la mission.

Le Père Murray est bref concernant livre abominable de Martin — salué par la presse — intitulé « Comment l'Église Catholique et la communauté LGBT peuvent entrer dans une relation de respect, de compassion et de sensibilité ».

Tout d'abord, le Père Murray note qu’il n'y a pas de « communauté LGBT ». Il y a plutôt un « amalgame de ceux qui rejettent l'ordre naturel de la sexualité humaine de différentes manières et qui donc partagent un intérêt commun à voir que les lois, les normes et les coutumes sociales qui soutiennent l’ordre naturel soient proscrites ».

Avec une clarté vivifiante qui caractérise son commentaire en général, le Père Murray enfonce au cœur du mal du livre de Martin :

« L’objectif de ce livre n’est pas de suggérer des façons par lesquelles l'Église, dans sa fidélité à l'enseignement du Christ, peut améliorer sa portée auprès des personnes qui se sentent attirées à commettre le péché de sodomie dans l'espoir qu'ils rejettent cette tendance illicite et embrassent la chasteté... Le vrai but de ce livre est de plaider en faveur d'un assouplissement de l'enseignement de l'Église qui stipule que la sodomie est gravement immorale et que toute attirance pour commettre des actes de sodomie est un désordre intrinsèque dans la personnalité de quelqu’un ».

Le péché de sodomie ! Combien de prêtres sont prêts de nos jours à appeler ce péché pour ce qu’il est ? Seuls quelques courageux qui refusent, comme le Père Murray, de battre en retraite devant la tyrannie de la rectitude politique.

Comme le Père Murray note, ce qui confirme ce que j'ai également soutenu, Martin « rejette simplement l'enseignement du Catéchisme de l'Église Catholique à savoir que l’« inclination » envers les « tendances homosexuelles » est « intrinsèquement désordonnée » et préfère que les gens enclins à commettre la sodomie soient appelés « différemment ordonnés ». Mais, le Père Murray met en garde : si cette ruse terminologique réussissait, ça signalerait que la tendance à commettre la sodomie « est tout simplement différente et non désordonnée » et « l’activité homosexuelle serait tout simplement un comportement naturel le pour des gens « ordonnés différemment ».

En effet, Murray observe : « La thèse de ce livre est que les lesbiennes, les gays, les bisexuels et les transsexuels / transsexuelles ont été faits pour être tels par Dieu et qu’ils devraient donc prendre plaisir à vivre et à exprimer leur don de Dieu, une sexualité différemment ordonnée en une manière différente. La vérité est très différente ».

À sa manière habituelle directe, le Père Murray termine avec la simple vérité : « Les inclinations ou les tendances sexuelles vers des actes qui ne sont ni procréateurs ou unitifs, et donc immoraux par nature, ne représentent pas qui nous sommes ou comment nous avons été créés par Dieu. Ils sont des déficits que l’on peut retracer en fin de compte au péché originel et qui doivent être traités par la grâce de Dieu et par notre volonté de croire fermement que la Loi de Dieu est bonne et produira le plus grand bonheur dans nos vies ».

Les prêtres comme le Père Gerald Murray représentent l'espoir pour la restauration dans l'Église. Les prêtres comme le Père Martin représentent une décadence accélérée qui rend plus clair à chaque jour que cette restauration ne peut pas être longue à venir et qu’elle va venir avec une intervention divine du genre le plus dramatique.

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